Le Groupe des Sept, France, Allemagne, Italie, Grande Bretagne, États-Unis, Canada et Japon, mieux connu sous l'abréviation G7, qui rassemble les chefs d'État et de gouvernement de sept des principales puissances mondiales se réunira du 24 au 26 août à Biarritz dans le sud de la France. Cette année ce qui rend distinct cette réunion ce n'est pas le thème dédié à la lutte contre les inégalités, qu'elles soient sociales, environnementales ou encore sécuritaires sur les cinq continents, déjà discutées dans les organisations internationales comme l'ONU, mais la guerre commerciale entre Washington et Pékin, les tensions autour de l'Iran et le bras de fer sur le Brexit comme le démontre l'agenda de la rencontre du 19 août au Fort de Brégancon entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine favorable à l'Europe de l'Atlantique à l'Oural.
D'autres sujets contextuels seront traités avec ou sans la participation de Donald Trump, Boris Johnson et Matteo Salvinni au G7 2019 de Biarritz tels que la taxation des géants du numérique, la crise Hong-kongaise, l'élection éventuelle d'un gouvernement d’extrême droite en Italie hostile à l'Union européenne et le positionnement l'Italie comme premier pays membre du G7 à intégrer le projet d'infrastructures maritimes, ferroviaires et numériques en Europe et en Afrique lancé par Pékin en 2013. De manière globale jamais cette réunion annuelle ne s'est annoncée aussi tendue pas même au moment où l'axe Paris-Berlin en partenariat avec la Russie a refusé de participer à la guerre en Irak en 2003. Quoi qu'on en dise, la tenu d'un G7 à Biarritz dans le sud de la France aggravent aussi les préoccupations indépendantistes au pays Basque, en Catalogne et en Galice.
Des troubles politiques et désordre social menacent aujourd’hui encore l'unité politique de l'Espagne. L'Espagne est un État des autonomies, dont l'architecture institutionnelle est née en 1979 avec l’approbation du Statut d’autonomie de la Catalogne, reconnue par la Constitution de 1978 comme une nationalité historique, de même que le Pays basque et la Galice. Mieux encore, une majorité d’indépendantistes basques et catalans sont favorables à l'Union européenne. Leurs convictions sur l’engagement des Communautés autonomes dans la politique communautaire sont connues. C'est dans un tel contexte que la Direction générale de la sécurité intérieure de France s'attend à ce que des casseurs internationaux instrumentés convergent entre des territoires proches par leur localisation de l'Eurocité basque Bayonne-San-Sebastián qui s'étend le long de cinquante kilomètres de côtes du golfe de Gascogne, de part et d'autre de la Bidassoa, petit fleuve qui forme la frontière entre la France et l'Espagne.
D'autres sujets contextuels seront traités avec ou sans la participation de Donald Trump, Boris Johnson et Matteo Salvinni au G7 2019 de Biarritz tels que la taxation des géants du numérique, la crise Hong-kongaise, l'élection éventuelle d'un gouvernement d’extrême droite en Italie hostile à l'Union européenne et le positionnement l'Italie comme premier pays membre du G7 à intégrer le projet d'infrastructures maritimes, ferroviaires et numériques en Europe et en Afrique lancé par Pékin en 2013. De manière globale jamais cette réunion annuelle ne s'est annoncée aussi tendue pas même au moment où l'axe Paris-Berlin en partenariat avec la Russie a refusé de participer à la guerre en Irak en 2003. Quoi qu'on en dise, la tenu d'un G7 à Biarritz dans le sud de la France aggravent aussi les préoccupations indépendantistes au pays Basque, en Catalogne et en Galice.
Des troubles politiques et désordre social menacent aujourd’hui encore l'unité politique de l'Espagne. L'Espagne est un État des autonomies, dont l'architecture institutionnelle est née en 1979 avec l’approbation du Statut d’autonomie de la Catalogne, reconnue par la Constitution de 1978 comme une nationalité historique, de même que le Pays basque et la Galice. Mieux encore, une majorité d’indépendantistes basques et catalans sont favorables à l'Union européenne. Leurs convictions sur l’engagement des Communautés autonomes dans la politique communautaire sont connues. C'est dans un tel contexte que la Direction générale de la sécurité intérieure de France s'attend à ce que des casseurs internationaux instrumentés convergent entre des territoires proches par leur localisation de l'Eurocité basque Bayonne-San-Sebastián qui s'étend le long de cinquante kilomètres de côtes du golfe de Gascogne, de part et d'autre de la Bidassoa, petit fleuve qui forme la frontière entre la France et l'Espagne.